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Droit de réponse

Droit de réponse de Human Rights Watch

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publié le 23 décembre 2012 à 21h16
(mis à jour le 23 décembre 2012 à 22h16)

Suite à l'article de Maria Malagardis publié dans Libération édition papier du 11 décembre 2012 et intitulé «Goma survit à portée des tirs rebelles», Human Rights Watch souhaite apporter à vos lecteurs les précisions suivantes : Human Rights Watch ne rémunère pas les témoins interrogés pour les informations fournies, afin de préserver l'intégrité des entretiens que nous menons. Human Rights Watch propose parfois aux victimes ou aux témoins un dédommagement pour rembourser les frais qu'ils pourraient encourir lorsqu'ils voyagent spécifiquement pour rencontrer nos chercheurs. Comme dans tout autre conflit, Human Rights Watch enquête sur les abus commis par toutes les parties en RD Congo, et nous cherchons à recueillir les témoignages de toute personne ayant des expériences directes à partager.

La réponse de Libération Dans le passage de mon reportage auquel vous faites allusion, j'ai simplement raconté ce que j'ai vu et entendu dans un dispensaire misérable de Goma, où défilaient des femmes visiblement désespérées et affamées, qui m'ont à moi aussi réclamé de l'argent. Votre chercheur, avec lequel j'ai discuté, avait convenu que, dans ces conditions, les témoignages étaient aléatoires. Mais il avait aussitôt ajouté être convaincu que le M23 avait «commis beaucoup de crimes» dont on ne connaissait pour l'instant que «la partie visible de l'iceberg». Ce qu'il cherchait, ce n'était donc pas qui a commis les violences à Goma (M23, armée r

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