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A l’occasion du vingtième anniversaire de la mort de Roland Topor, le 16 avril 1997, petit effeuillage des archives de Libé.
Roland Topor, en 1975. (Photo Ad Petersen)
par
publié le 28 avril 2017 à 11h02
(mis à jour le 28 avril 2017 à 13h02)

Ses livres préférés. En mai 1979, Marie-Christine Ronder rencontre Topor pendant trois heures dans un bistrot pour sa rubrique «Farenheit». Docteur Dolittle de Hugh Lofting, tout Maupassant et tout Arthur Schnitzler, Conrad, la Reine des pommes de Chester Himes, l'Année de la peste à Londres de Daniel Defoe, A nos amours de Wolfson, Emmanuel Bove, etc.

Fini de rire. Dessinateur, romancier, homme de télé et de cinéma, Roland Topor revendiquait «le goût de déplaire». Il est mort à Paris le 16 avril 1997 à 59 ans. Il fait la une à quatre jours de la dissolution de l'Assemblée nationale, prélude à une nouvelle cohabitation. Le lendemain de sa disparition, deux pages d'hommage dans Libération : Chalut Topor et Toporire, Toportrait, Toporscène, Toporchant et