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Voile

Vendée Globe: c’est assez de taper les baleines

La collision avec un Objet flottant non identifié est le cauchemar des marins. Outre des conteneurs et autres déchets, les bateaux peuvent heurter et sévèrement blessé des cétacés. Un tabou dans le monde de la course au large où les recherches se multiplient pour développer des systèmes empêchant ces confrontations.
publié le 16 décembre 2020 à 14h26

Au grand large en revanche et dans l’océan Indien par exemple, la probabilité d’une rencontre avec un cétacé n’est pas un danger théorique mais une réalité. Kito de Pavant peut en témoigner. Il y a quatre ans dans le Vendée Globe, il a percuté à pleine vitesse un cachalot ayant littéralement arraché sa quille de plusieurs tonnes. Avant de devoir abandonner son bateau en train de couler, puis d’être récupéré par le Marion Dufresne, navire ravitailleur des Terres australes et antarctiques françaises, qui miracle, croisait à proximité, le marin méditerranéen a eu le réflexe de s’emparer de la carte mémoire de sa caméra. Les images tournées à bord dans une forte mer ont permis d’identifier formellement la pauvre bête probablement condamnée comme le voilier.

Vendée Globe: c’est assez de taper les baleines

La collision avec un Objet flottant non identifié est le cauchemar des marins. Outre des conteneurs et autres déchets, les bateaux peuvent heurter et sévèrement blessé des cétacés. Un tabou dans le monde de la course au large où les recherches se multiplient pour développer des systèmes empêchant ces confrontations.



Au grand large en revanche et dans l’océan Indien par exemple, la probabilité d’une rencontre avec un cétacé n’est pas un danger théorique mais une réalité. Kito de Pavant peut en témoigner. Il y a quatre ans dans le Vendée Globe, il a percuté à pleine vitesse un cachalot ayant littéralement arraché sa quille de plusieurs tonnes. Avant de devoir abandonner son bateau en train de couler, puis d’être récupéré par le Marion Dufresne, navire ravitailleur des Terres australes et antarctiques françaises, qui miracle, croisait à proximité, le marin méditerranéen a eu le réflexe de s’emparer de la carte mémoire de sa caméra. Les images tournées à bord dans une forte mer ont permis d’identifier formellement la pauvre bête probablement condamnée comme le voilier.

Au grand large en revanche et dans l’océan Indien par exemple, la probabilité d’une rencontre avec un cétacé n’est pas un danger théorique mais une réalité. Kito de Pavant peut en témoigner. Il y a quatre ans dans le Vendée Globe, il a percuté à pleine vitesse un cachalot ayant littéralement arraché sa quille de plusieurs tonnes. Avant de devoir abandonner son bateau en train de couler, puis d’être récupéré par le Marion Dufresne, navire ravitailleur des Terres australes et antarctiques françaises, qui miracle, croisait à proximité, le marin méditerranéen a eu le réflexe de s’emparer de la carte mémoire de sa caméra. Les images tournées à bord dans une forte mer ont permis d’identifier formellement la pauvre bête probablement condamnée comme le voilier.

Au grand large en revanche et dans l’océan Indien par exemple, la probabilité d’une rencontre avec un cétacé n’est pas un danger théorique mais une réalité. Kito de Pavant peut en témoigner. Il y a quatre ans dans le Vendée Globe, il a percuté à pleine vitesse un cachalot ayant littéralement arraché sa quille de plusieurs tonnes. Avant de devoir abandonner son bateau en train de couler, puis d’être récupéré par le Marion Dufresne, navire ravitailleur des Terres australes et antarctiques françaises, qui miracle, croisait à proximité, le marin méditerranéen a eu le réflexe de s’emparer de la carte mémoire de sa caméra. Les images tournées à bord dans une forte mer ont permis d’identifier formellement la pauvre bête probablement condamnée comme le voilier.

Au grand large en revanche et dans l’océan Indien par exemple, la probabilité d’une rencontre avec un cétacé n’est pas un danger théorique mais une réalité. Kito de Pavant peut en témoigner. Il y a quatre ans dans le Vendée Globe, il a percuté à pleine vitesse un cachalot ayant littéralement arraché sa quille de plusieurs tonnes. Avant de devoir abandonner son bateau en train de couler, puis d’être récupéré par le Marion Dufresne, navire ravitailleur des Terres australes et antarctiques françaises, qui miracle, croisait à proximité, le marin méditerranéen a eu le réflexe de s’emparer de la carte mémoire de sa caméra. Les images tournées à bord dans une forte mer ont permis d’identifier formellement la pauvre bête probablement condamnée comme le voilier.



«Avant, tu rencontrais un thon ou une baleine et tu n’avais rien, aujourd’hui, tu croises un maquereau et tu exploses ton bateau. Et il y a plus de maquereaux que de baleines…»

—  Jean Le Cam